Tout premier entrainement. Heure départ : 19h30 – retour 20h15. temps : 13°, couvert.
Départ tranquille en trottinant. 200 m plus loin, premier arrêt de la course. Mal dans le torse. Palpitations. Je continue en marchant le plus vite possible comme on me l’a conseillé tout en essayant de reprendre mon souffle. 2mn plus tard, reprise de la course. J’essai d’inspirer et expirer à intervalles réguliers. Encore 100 m et nouvel arrêt de la course. Toujours mal au torse et (déjà) premières questions existentielles : p…mais pk je fait ca ? 1mn de marche et reprise de la course. Je cours un peu plus longtemps (300m) mais la douleur devient plus intense. Arrêt de la course. Tout en marchant, je décide de ne pas courir « à l’aveugle » mais de me fixer un objectif. Je cours jusqu’à la ferme que j’aperçois d’où je suis et retour à la maison. Encore 200m pour atteindre mon objectif et je cesse de courir. Je ne marche pas non plus. Je respire à fond. J’oxygène ces muscles et ces poumons qui crient stop. 5 mn d’arrêt complet. Puis reprise de la course dans le sens du retour. 300m parcouru à très petite vitesse, à la limite de la marche. Nouvel arrêt, marche. Un peu moins d’essoufflement mais je suis en nage. Ma surcharge pondérale est un réel handicap. Mon ventre, mes pectoraux me gènent pour courir . 1mn puis reprise de la course, encore 300m puis encore un arrêt. 30s de pause. Reprise de la course avec comme objectif la cour de la maison. Je cours en regardant le sol. La course est moins difficile mais je me sens dans un état second comme si c’était la route qui se déroulait sous mes pieds à la manière d’un tapis roulant. Les derniers 100m sont pénibles mais je continue de courir. Arrivée à la maison. J’ai envie de vomir, les jambes qui flageolent, en sueur, limite la tête qui tourne. Temps de récupération avant de retrouver un rythme cardiaque normal estimé à 15mn.
Départ tranquille en trottinant. 200 m plus loin, premier arrêt de la course. Mal dans le torse. Palpitations. Je continue en marchant le plus vite possible comme on me l’a conseillé tout en essayant de reprendre mon souffle. 2mn plus tard, reprise de la course. J’essai d’inspirer et expirer à intervalles réguliers. Encore 100 m et nouvel arrêt de la course. Toujours mal au torse et (déjà) premières questions existentielles : p…mais pk je fait ca ? 1mn de marche et reprise de la course. Je cours un peu plus longtemps (300m) mais la douleur devient plus intense. Arrêt de la course. Tout en marchant, je décide de ne pas courir « à l’aveugle » mais de me fixer un objectif. Je cours jusqu’à la ferme que j’aperçois d’où je suis et retour à la maison. Encore 200m pour atteindre mon objectif et je cesse de courir. Je ne marche pas non plus. Je respire à fond. J’oxygène ces muscles et ces poumons qui crient stop. 5 mn d’arrêt complet. Puis reprise de la course dans le sens du retour. 300m parcouru à très petite vitesse, à la limite de la marche. Nouvel arrêt, marche. Un peu moins d’essoufflement mais je suis en nage. Ma surcharge pondérale est un réel handicap. Mon ventre, mes pectoraux me gènent pour courir . 1mn puis reprise de la course, encore 300m puis encore un arrêt. 30s de pause. Reprise de la course avec comme objectif la cour de la maison. Je cours en regardant le sol. La course est moins difficile mais je me sens dans un état second comme si c’était la route qui se déroulait sous mes pieds à la manière d’un tapis roulant. Les derniers 100m sont pénibles mais je continue de courir. Arrivée à la maison. J’ai envie de vomir, les jambes qui flageolent, en sueur, limite la tête qui tourne. Temps de récupération avant de retrouver un rythme cardiaque normal estimé à 15mn.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire